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Dossier : TVA

1.TVA :  DÉFINITION ET PRINCIPES

fiche de paye excel

La TVA est un impôt qui se classe dans la catégorie des taxes sur le chiffre d’affaires et qui frappe le consommateur final.

L’entreprise collecte la TVA (TVA collectée) auprès de ses clients et la paye à ses fournisseurs (TVA déductible). La TVA n’est donc pas une charge pour l’entreprise.

La base imposable et le montant de l’impôt sont arrondis à l’euro le plus proche. Les bases et cotisations inférieures à 0,50 euro sont négligées et celles supérieures ou égales à 0,50 euro sont comptées pour 1.

2. LES TAUX DE TVA

  • 2,5 % : Médicaments, journaux…

  • 10 % : Produits alimentaires, agriculture, pêche, livres, spectacles…

  • 20 % : Reste

3. CALCUL DE LA TVA A DECAISSER

Remarque : la TVA à décaisser peut être négative (crédit de TVA). Il peut être déduit de la TVA à payer du mois suivant ou remboursé par l’Etat.

TVA à décaisser = TVA collectée sur les ventes

– TVA déductible sur autres biens et services (charges)

– TVA déductible sur les immobilisations

– Crédit de TVA antérieur

4. COMPTABILISATION DE LA TVA

La TVA collectée et la TVA déductible se comptabilisent avec les factures.

Les écritures comptables s’enregistrent au centime près. Il peut donc y avoir des différences d’arrondis.

Ecriture n°1 : Comptabilisation de la déclaration de TVA dans le cas d’une TVA à payer

 

Nature du document : Déclaration de TVA
Numéro :
Nom du tiers : Etat Date : Fin de mois

N° compte

Nom du compte

Débit

Crédit

44571 Etat, TVA collectée

X

44566 Etat, TVA déductible sur autres biens et services

X

44562 Etat, TVA déductible sur immobilisations

X

44551 Etat, TVA à décaisser

X

658 Charges diverses de gestion courante (arrondis)

X

Ou 758 Produits divers de gestion courante (arrondis)

X

 

Ecriture n°2 : Comptabilisation de la déclaration de TVA dans le cas d’un crédit de TVA

 

Nature du document : Déclaration de TVA
Numéro :
Nom du tiers : Etat Date : Fin de mois

N° compte

Nom du compte

Débit

Crédit

44571 Etat, TVA collectée

X

44567 Etat, crédit de TVA à reporter

X

44566 Etat, TVA déductible sur autres biens et services

X

44562 Etat, TVA déductible sur immobilisations

X

658 Charges diverses de gestion courante (arrondis)

X

Ou 758 Produits divers de gestion courante (arrondis)

X

 

Ecriture n°3 : Comptabilisation du paiement de la TVA à l’Etat

 

Nature du document : Déclaration de TVA
Numéro :
Nom du tiers : Etat Date : Fin de mois

N° compte

Nom du compte

Débit

Crédit

44551 Etat, TVA à décaisser

X

512 Banque

X

Hollande et l’echec sur l’écueil de la fiscalité

francois-hollande echec fiscal

Voici quelques mots de François Hollande sur la fiscalité, il y a 4 ans à Périgueux :

« A force d’être mitée et minée, notre fiscalité est devenue opaque. Et le Parlement ajoute des “usines à gaz aux usines à gaz”, de la taxe carbone jusqu’à la taxe professionnelle (…), le système est non seulement illisible, il est instable. Les exonérations de cotisations sociales supposées encourager l’emploi ont changé douze fois en quinze ans de mode de calcul. Comment les entreprises peuvent-elles elles-mêmes faire leurs arbitrages ? »

 

Le candidat à la candidature socialiste pour la présidentielle se présente comme le héraut d’une « révolution fiscale » inspirée de l’économiste Thomas Piketty, qui milite pour une remise à plat complète de la fiscalité. Il le détaille dans son ouvrage, « le rêve français » :

« J’ai considéré qu’elle [la réforme fiscale] devait être la première des réformes, avant toutes les autres. Il ne sera pas possible de demander quelques efforts que ce soit à nos concitoyens s’ils ,ne savent pas que ces efforts sont justement répartis […] La réforme fiscale sera la première : grande réforme de l’impôt sur le revenu, fusion de l’IR et de la CSG, pris en compte de tous les revenus… »

 

Quatre ans plus tard, la révolution a fait long feu, et le gouvernement réfléchit à des manières d’exempter d’impôts les plus modestes, donc de « miter et miner » un peu plus la fiscalité. Entre les deux, l’usure du pouvoir a fait son oeuvre.

1. La « révolution fiscale » abandonnée

«La réforme fiscale est un préalable. Elle donne la transparence, la clarté, la progressivité indispensable pour convaincre nos concitoyens de consentir à une contribution. La réforme fiscale a une double vocation : redistribuer justement et financer efficacement », promettait le candidat Hollande.

Mais rapidement, il remise cette idée aux calendes grecques. Dès la fin de campagne, son équipe renvoie à la fin du mandat l’idée d’une vraie réforme fiscale d’ampleur avec, notamment, fusion de l’impôt sur le revenu et de la CSG.

L’idée sera évoquée à nouveau par Jean-Marc Ayrault, à la fin 2013. Un rapport sera remis par Dominique Lefebvre, député PS, proposant un certain nombre de pistes, modestes par rapport aux propositions du candidat Hollande : réforme de quelques abattements, refonte de certains seuils… Entre-temps, le premier ministre a changé. Place à Manuel Valls, qui salue le travail engagé, mais ne donne pas réellement suite.

2. Ecotaxe poids lourds, 75 %… des taxes vidées de leur sens

Durant la campagne, M. Hollande avait aussi lancé des propositions audacieuses, dont la fameuse taxation à 75 % des revenus situés au-delà du million d’euros. Une idée un peu improvisée, mais qui avait plu à une partie de l’opinion.

Mais la proposition suscite une levée de boucliers dès l’été 2012, avant d’être censurée par le Conseil constitutionnel.

Le gouvernement conçoit un nouveau dispositif, qui frappe directement les entreprises qui ont des cadres payés plus d’un million d’euros en salaire. Son assiette se réduit, et elle ne concernera, selon les prévisions gouvernementales, que moins de 50 entreprises, pour 260 millions d’euros en 2014, 160 millions en 2015.

L’écotaxe poids lourds, qui doit frapper les camions qui empruntent certaines routes, subit également la vindicte de certaines catégories. A l’automne 2013, les « bonnets rouges » détruisent les portiques qui doivent signaler les passages de camions.

Là encore, après de nombreux atermoiements, le gouvernement finit par renoncer, et la remplacer par des « péages de transit ».

Des manifestants contes la politique de l’ecotaxe

3. Des impôts qui ne passent pas

Il faut dire que les hausses d’impôt mises en place par la gauche à son arrivée au pouvoir passent mal, très mal. Le gouvernement Fillon avait déjà, au travers des deux plans de rigueur successifs, alourdi la fiscalité. Le PS en remet une couche.

Entre 2009 et 2012, la charge fiscale globale est passée, selon les chiffres d’Eurostat, de 42,1 % à 45 % du PIB. Et le gouvernement Ayrault annonce de nouvelles hausses, de 10 milliards supplémentaires, dès la rentrée 2012. Un effort que M. Hollande veut « juste », mais qui passe mal.

L’arrivée des premières feuilles d’impôt, à la rentrée 2013, est une douche froide pour beaucoup. Jean-Marc Ayrault a beau clamer que « 90 % de l’effort fiscal est demandé aux 10 % de ménages les plus aisés », il ne trompe personne : le gel du barème, l’abaissement du plafond du quotient familial, les taxes nouvelles sur certains produits et autres mesures touchent une proportion bien plus large de contribuables.

La classe moyenne supérieure en fait les frais, et le supporte de plus en plus mal. Les mouvements hostiles aux taxes nouvelles se multiplient : « tondus », « moutons », « bonnets rouges », « verts ou noirs »…

Une fiscalité qui s’alourdit de plus en plus.

De 2009 à 2011, les principaux éléments de la fiscalité, ici en milliards d’euros, sont en hausse, qu’il s’agisse de la TVA, des impôts sur le revenu, des cotisations sociales…

4. Promesses rompues et hausses en série

Dès la fin 2012, le gouvernement a pris la mesure de la grogne qui monte. Jérôme Cahuzac, alors ministre du budget, assure à plusieurs reprises qu’il « n’y aura pas d’effort fiscal supplémentaire ensuite [après 2013], car le président de la République s’est engagé à la stabilité. »

Mais il ne peut tenir cette promesse, d’autant moins qu’il choisit d’aider les entreprises en diminuant leurs cotisations au travers du crédit d’impôt compétitivité emploi et du « pacte de responsabilité ».

Alors que la France s’est engagée à réduire ses déficits, ces baisses, d’un montant de 30 milliards d’euros, doivent être compensées. Et à défaut de tailler dans les dépenses, le gouvernement ne peut que tenter d’augmenter les recettes.

 

Le déficit diminue, pas les dépenses publiques

La diminution du dé

En 2013, de nouvelles hausses et efforts sont annoncés. Et dès l’été, le gouvernement admet qu’il y aura bien une nouvelle hausse des prélèvements obligatoires l’année suivante. François Hollande évoque à l’automne 2013 une « pause fiscale », mais les impôts augmentent encore dans le budjet 2014. La diminution des prélévements obligatoires est renvoyée à 2016.

Finalement, fin mars 2014, François Hollande doit reconnaître que la « diminution des impôts des Français » attendra 2017.

5. Mesures catégorielles et aménagements

En attendant, le gouvernement Manuel Valls, qui prend la tête du gouvernement après la défaite historique des municipales, doit composer avec ce « raz le bol fiscal ». Il se lance donc dans une opération vérité :

« Entre 2010 et 2012, la droite a augmenté les impôts de 30 milliards. Et entre 2012 et 2014, la gauche les a augmentés aussi de 30 milliards. Cela suffit, c’est trop. Trop d’impôt, selon la vieille formule, tue l’impôt et tue surtout la compétitivité de notre pays. »

Une première mesure doit donc « faire sortir » 1,8 million de ménages modestes de l’impôt sur le revenu. Son financement, qui doit se faire via une lutte contre les fraudes, reste incertain. De même que pour la nouvelle mesure annoncée, la suppression d’une tranche du barème.

En 2014, pour la deuxième fois depuis 1996, on comptera moins de 50 % de ménages acquittant effectivement un impôt sur le revenu.

Comme à chaque fois, ou presque, ces nouvelles mesures sont des « trous » pratiqués dans la fiscalité, qui visent à faire sortir des catégories de l’impôt, ou à ajouter des exceptions. Le montant des dépenses fiscales, autrement appelées « niches fiscales », n’a d’ailleurs pas diminué depuis 2012, au contraire : il atteint 80 milliards d’euros en comptant le CICE.

Bref, une fiscalité qui, « à force d’être mitée et minée », devient opaque. Précisément ce que dénonçait voilà quatre ans François Hollande.

ficit public (exprimé en pourcentage du PIB) est due à la hausse des prélèvements obligatoires.

source : Le Monde

 

Thomas Thévenoud et l’évasion fiscale

Démission suite au fraude au fisc de Thomas Thévenoud

Thomas Thévenoud demissione

Thomas Thévenoud

Le secrétaire d’État au Commerce extérieur, Thomas Thévenoud a démissionné jeudi pour s’être soustrait au fisc, il s’est décrit comme un “contribuable négligent”, non “un fraudeur”, en affirmant vouloir rester député.

“On peut m’accuser de négligence mais pas de malhonnêteté”,au Journal de la Saône-et-Loire il a indiqué par écrit Thomas Thévenoud

Tous ses ministres qui fraudent ?

Jérôme Cahuzac, le 15 mai 2012, la veille de sa nomination comme ministre … Il est alors mis en examen pour blanchiment d’argent provenant de fraude fiscale.

François Hollande dans de sales draps

François Hollande savait que la rentrée de septembre serait difficile. Mais entre une impopularité record, sa vie privée étalée dans un livre, le limogeage d’un ministre qui ne payait pas ses impôts et une économie française atone, le chef de l’Etat français est entré dans la période la plus sombre de son mandat. «Jusqu’à quand tiendra le président ?».EL watan

« Merci beaucoup de cette question sympathique… » C’est la réponse de Manuel Valls, interrogé sur les propos du banquier Pierre Condamin-Gerbier qui affirme détenir une liste de ministres détenteurs de comptes en Suisse. L’ex-ministre UMP Gérard Larcher « attend de voir » ici la vidéo sur dailymotion

Des Cahuzacs , y en a d’autres

Le magazine Challenges rapporte les propos de Pierre Condamin-Berbier lors de son audition: «Je n’ai pas fourni de noms de fraudeurs aux enquêteurs pour des raisons de sécurité. Mais mes documents et mes notes sont consignés auprès d’une partie tierce et ils seront dévoilés quand mon environnement sera plus sûr. Il y a eu des menaces écrites et orales sur mon intégrité physique ainsi que celle de ma famille.» Pierre Condamin-Gerbier évoque une quinzaine de personnalités politiques impliqués dans une fraude fiscale en Suisse, «dont des ministres de la précédente et de l’actuelle majorité». voir le parisien.

Taxe sur les hautes rémunérations : modalités de calcul

Taxe sur les hautes rémunérations

Les entreprises françaises qui versent en 2013 et 2014 à leurs salariés et dirigeants des rémunérations supérieures à 1 M€ sont redevables d’une taxe exceptionnelle égale à 50 % de la fraction des rémunérations excédant ce seuil. L’administration commente l’ensemble du dispositif et reporte au 15 mai 2014 la date de déclaration et de paiement de la taxe due au titre des rémunérations attribuées en 2013.

Quelle est la date de prise en compte des rémunérations ?

Rémunérations attribuées au cours des années civiles 2013 et 2014

Quelles rémunérations retenir en cas de clôture ou non en cours d’année civile ?

L’assiette de la taxe exceptionnelle sur les hautes rémunérations est constituée des éléments de rémunération visés aux paragraphes 9-4 à 9-9 attribués au cours des années civiles 2013 et 2014, qu’ils aient été enregistrés au cours d’un ou de plusieurs exercices comptables.

Les entités dont l’exercice comptable coïncide avec l’année civile retiennent les éléments de rémunération qui concourent à la détermination de leur résultat. En revanche, celles qui clôturent leurs comptes en cours d’année doivent nécessairement reconstituer l’assiette de la taxe en retenant les rémunérations comptabilisées au cours des deux exercices (BOFiP-TPS-THR-§ 300-30/04/2014)

Seules les rémunérations comptabilisées sont à prendre en compte

Les rémunérations entrent dans le champ de la taxe si les charges correspondantes sont comptabilisées en 2013 et en 2014, quelle que soit l’année de leur versement effectif.

En pratique, les éléments de rémunération sont pris en compte dans l’assiette de la taxe lorsque le passif vis-à-vis du bénéficiaire des sommes est certain dans son principe et déterminé dans son montant.

A contrario, les éléments de rémunération qui sont nettement précisés mais que des événements en cours ne rendent que probables et qui sont seulement comptabilisés en provisions n’entrent pas dans l’assiette de la taxe. Il en est de même si, pour des raisons de présentation des comptes, les provisions sont comptabilisées dans les comptes de charges de personnel (BOFiP-TPS-THR-§§ 310 et 320-30/04/2014).

Exemple

Les bonus alloués par une entité à ses dirigeants ou à ses salariés en 2013 ou 2014 en considération de performances futures et qui ne présentent pas à ce titre le caractère d’une dette certaine dans son principe et déterminée dans son montant vis-à-vis des bénéficiaires n’entrent pas dans l’assiette de la taxe exceptionnelle.

Corrélativement, lorsque la provision est utilisée conformément à son objet, la charge prise en compte dans l’assiette de la taxe n’est pas réduite du montant de la reprise de la provision.

Quels sont les redevables de cette taxe ?

Toute entité exploitant une entreprise en France

La taxe exceptionnelle sur les hautes rémunérations est due par les entreprises individuelles, les personnes morales ainsi que les sociétés, groupements ou organismes non dotés de la personnalité morale qui exploitent une entreprise en France.

Ainsi, sont redevables de la taxe toutes les entités qui attribuent des rémunérations individuelles dont le montant excède 1 M€, quelles que soient (BOFiP-TPS-THR-§ 20-30/04/2014) :

– leur forme juridique (entreprise individuelle, société, association, GIE…) ;

– la nature de leur activité (commerciale, industrielle, libérale, civile, agricole, artisanale) ;

– leur situation au regard de l’imposition des résultats.

Qu’entend-on par entreprise exploitée en France ?

La taxe exceptionnelle sur les hautes rémunérations est due par les entités qui exploitent une entreprise en France.

La notion d’exploitation, s’entend de l’exercice habituel d’une activité qui peut (CGI art. 209-I ; BOFiP-IS-CHAMP-60-10-10-§§ 50 à 220-12/09/2012) :

– soit s’effectuer dans le cadre d’un établissement autonome ;

– soit être réalisée, en l’absence d’un établissement, par l’intermédiaire de représentants sans personnalité professionnelle indépendante ;

– soit encore résulter de la réalisation d’opérations formant un cycle commercial complet.

Ainsi, les établissements stables, en France, d’entités ayant leur siège dans un autre État, qui attribuent des rémunérations annuelles supérieures à 1 M€ à un ou plusieurs de leurs salariés ou dirigeants, sont soumis à la taxe.

Inversement, les établissements stables à l’étranger d’entités ayant leur siège en France ne sont pas soumis à la taxe.

En outre, le lieu où est situé le domicile du bénéficiaire des rémunérations est sans incidence sur l’exigibilité de la taxe. Ainsi, les rémunérations attribuées à des personnes qui exercent leur activité hors du territoire français, par une entité exploitée en France, sont susceptibles d’entrer dans l’assiette de la taxe (BOFiP-TPS-THR-§§ 40 et 50-30/04/2014).

Quelles sont les rémunérations à retenir dans l’assiette de la taxe ?

Rémunérations admises en déduction des résultats imposables

La taxe exceptionnelle sur les hautes rémunérations est assise sur les rémunérations attribuées en 2013 et 2014 et susceptibles d’être admises en déduction du résultat imposable, quels que soient la qualité du bénéficiaire (salariés, mandataires sociaux, pensionnés) et les régimes fiscaux auxquels sont soumises les rémunérations que ce dernier perçoit (BOFiP-TPS-THR-§ 70-30/04/2014).

Les éléments de rémunération à retenir sont énumérés aux paragraphes 9-4 à 9-9.

À noter

Compte tenu de la nature de certains éléments de rémunération, les bénéficiaires des sommes peuvent ne plus exercer de fonction dans l’entreprise assujettie en 2013 ou en 2014 (anciens salariés, anciens mandataires, pensionnés).

REDUCTIONS IMPOTS 2012 : IMPOT SUR LE REVENU

FISCAL NEWS : REDUIRE LES IMPOTS SUR LE REVENU 2012 SUR LA DECLARATION 2013



–          Demi-part supplémentaire, ou quart de part supplémentaire en cas de résidence alternée, par enfant à charge à compter du troisième

Demi-part supplémentaire pour les contribuables vivant effectivement seuls ayant eu un ou plusieurs enfants à charge

Demi-part supplémentaire pour les contribuables (et leurs veuves) de plus de 75 ans titulaires de la carte du combattant
Demi-part supplémentaire pour les contribuables invalides
Demi-part supplémentaire par orphelin majeur recueilli ou enfant célibataire majeur, ayant demandé son rattachement au foyer fiscal
Demi-part supplémentaire pour les contribuables veufs ayant des enfants à charge
Demi-part supplémentaire, ou quart de part supplémentaire en cas de résidence alternée, par enfant à charge ou par personne rattachée au foyer fiscal, titulaires de la carte d’invalidité
Demi-part supplémentaire, ou quart de part supplémentaire en cas de résidence alternée des enfants à charge, accordée aux parents isolés

–          Réduction d’impôt au titre des dons

–          Réduction d’impôt au titre des cotisations versées aux organisations syndicales représentatives de salariés

–          Réduction d’impôt pour frais de garde des enfants âgés de moins de 6 ans

–          Réduction d’impôt au titre des intérêts des emprunts contractés pour l’habitation principale

–          Réduction d’impôt au titre de certaines primes d’assurances

–          Réduction d’impôt au titre des investissements locatifs et de la réhabilitation de logements situés dans les D.O.M., à Saint-Pierre-et-Miquelon, à Mayotte, en Nouvelle Calédonie, en Polynésie française, dans les îles Wallis et Futuna et les Terres austral

–          Réduction d’impôt pour frais de comptabilité et d’adhésion à un centre de gestion ou une association agréés

–          Réduction d’impôt au titre des frais de dépendance des personnes hébergées en établissement spécialisé, et des frais d’hébergement des personnes hébergées au 31 décembre 2002 dans une unité de soins de longue durée non conventionnée

–          Réduction d’impôt au titre de l’emploi, par les particuliers, d’un salarié à domicile

–          Réduction d’impôt pour frais de scolarité

–          Réduction d’impôt au titre de l’ensemble des souscriptions en numéraire au capital initial ou aux augmentations de capital de sociétés

–          Réduction d’impôt au titre de la souscription de parts de fonds communs de placement dans l’innovation

–          Réduction d’impôt au titre des investissements locatifs et de la réhabilitation de logements dans les résidences de tourisme situées dans certaines zones rurales
Crédit d’impôt pour dépenses d’acquisition afférentes à l’habitation principale; dépenses de gros équipements, d’équipements de production d’énergie utilisant une source d’énergie renouvelable, de matériaux d’isolation thermique et d’appareils de régulations

–          Réduction d’impôt au titre de la prestation compensatoire versée exclusivement sous forme de capital.

–          Réduction d’impôt sur le revenu à raison des investissements productifs réalisés dans les départements, territoires et collectivités territoriales d’outre-mer, avant le 31 décembre 2017

–          Crédit d’impôt pour dépenses d’acquisition d’un véhicule fonctionnant exclusivement ou non au moyen du gaz de pétrole liquéfié (GPL) ou de gaz naturel véhicule (GNV) ou qui combine l’énergie électrique et une autre source d’énergie, ou pour dépenses de tr

–          Réduction d’impôt sur le revenu pour investissement forestier

–          Prime pour l’emploi en faveur des contribuables modestes déclarant des revenus d’activité
-Réduction d’impôt au titre de la souscription de parts de fonds d’investissement de proximité (FIP).

–          Réduction d’impôt au titre des intérêts d’emprunts souscrits par une personne physique en vue de financer la reprise d’une entreprise exploitée sous forme de société soumise à l’impôt sur les sociétés.

–          Réduction d’impôt pour télédéclaration et paiement par prélèvement ou par voie électronique

–          Réduction d’impôt au titre des intérêts payés au titre de prêts à la consommation

–          Réduction, dans la limite d’un certain montant, pour les contribuables des D.O.M. de la cotisation résultant du barème (30 % en Guadeloupe, Martinique et Réunion, et 40 % en Guyane)

–          Limites d’exonération concernant les contribuables à revenus modestes

–          Minimum de perception des cotisations d’impôt sur le revenu

–          Système de décote
Imposition des salaires ou des bénéfices des écrivains, des artistes et des sportifs selon une moyenne triennale ou quinquennale

Pour la documentation complète, veuillez vous connecter sur le site des impots

Fiscal News : Comment bien déclarer ses impôts [vidéo]

Fiscalité  2012  : Tuto Comment dois je  remplir ma  déclaration d’impôts ?  video

Remplir la déclaration fiscale n’est toujours pas chose facile, surtout si nous avons des revenus et dépenses  diverses  et variées. Cette vidéo pourrai vous être utile .

C’est aussi un petit rappel sur les fondamentaux de la déclaration d’impôts.



Fiscal News 2012

Fiscal News: Journées annuelles du Club fiscal des experts-comptables 11/2011

Journées annuelles du Club fiscal des experts-comptables

Le Club fiscal des experts-comptables vous invites à ses journées annuelles les Mardi 22 et Mercredi 23 novembre 2011.
RDV au : Salons Hoche, 9 avenue Hoche, Paris 75008, Métro Courcelles ou Etoile.

Plan d’accès : Les Salons Hoche 9 avenue Hoche – 75008 Paris




Au programme du Mardi 22 novembre 2011:

Résultat Fiscal:
Actualité jurisprudentielle et résultat fiscal avec M.PIERRE COLLIN et JEAN-MARIE TOUZET.

Déclaration de TVA:
Actualité de la déclaration de la TVA avec JEAN-PIERRE CASIMIR

Impôts directs:
Actualité communautaire et internationale avec GUY GEST

Holding et transmission d’entreprise : Réponse à la question sur des holdings, pour quoi faire ? avec les intervenants suivants : JEAN-PIERRE COSSIN, TANIA FOURNAISE, HERVE KRUGER, et PATRICK MORGENSTERN.

Transmission d’entreprise :
Quelques aspects de la transmission d’entreprise :LAURENT BENOUDIZ et PHILIPPE REIGNE.
Télécharger  le programme et  les infos sur  les journées annuelles du Club fiscal des experts-comptables ici :

Journées annuelles du Club fiscal des experts-comptables 2011

Fiscal News 2011

Le Centre de Formalités des Entreprises (CFE): l’annuaire

Le Réseau CFE  et l’annuaire des centres de formalités des entreprises



Le réseau CFE et l’INSEE  vous proposent l’annuaire des centres de formalités des entreprises .
Accomplir vos formalités administratives devient plus simple en utilisant les services que le réseau CFE vous propose.
Avec ce site, dirigez vous directement au centre des formalités compétent pour déclarer la création de votre entreprise ainsi que d’autres démarches administratives.

Rése@u CFE®



Formalités des entreprises sur le site de l’INSEE et le réseau CFE
Fiscal news 2011

Fiscal: Demande de remboursement de TVA

Faire une demande de remboursement de TVA


CA3 3310 Ligne 26 inscrire le montant du remboursement demandé sur le formulaire 3519 : par exemple 5000€
Votre demande de remboursement doit être faite sur le formulaire 3519
A telecharger ici

3310-CA3 ( C.E.R.F.A : 10963*16) CA3 3310 DECLARATION TVA

3519 ( C.E.R.F.A : 11255*11) 3519 DEMANDE DE REMBOURSEMENT DE TVA

Imprimé : 3310-A ( C.E.R.F.A : 10960*19):  ca3 3310 ANNEXE

Vous pouvez également telecharger un modèle de la lettre à accompagner à vos formulaires 3310 et 3519. MODELE LETTRE DEMANDE REMBOURSMENT DE TVA
N’oubliez pas de joindre un RIB.
Fiscal news 2011

Fiscal News: Fin téléservice EDDI le 30/06 : Archiver vos bordereaux SOFI

Déclarations douanes : EDDI : Arrêt définitif du télé service EDDI le 30 juin 2011




Le télé service EDDI s’arrête de façon définitive, le 30 juin 2011. Il est remplacé par le téléservice EDDI NG qui devient le seul télé service des états déclarants. C’est un dernier rappel.
Par conséquent , veuillez procéder aux archivages de vos bordereaux sofi parce qu’ils ne seront plus accessibles après

EDDI NG mets à disposition des opérateurs déclarants en douane la possibilité de :
-consulter leurs états comptables du jour (T03, T13 et T21),
– d’accéder à tous leurs états 2011 grâce au moteur de recherche
– de télécharger les données formatées (XML, CSV) et de les exploiter.
Ministère du Budget, des Comptes Publics et de la Réforme de l’Etat -Dgddi

D’autres articles pour déclarer vos DEB et DES :

liasse fiscale: Déclaration d’échange de services: Etapes à suivre

Liasse fiscale: (DES) la déclaration d’échange de services Formulaire
Fiscal News 20111

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